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Saviez-vous que dans notre monde actuel, la perspective de notre avenir au niveau de notre capital santé est dans l'ensemble très maussade. Il suffit de regarder ce que l'on devient à 40 ans, 60 ans et pire encore à 80 ans et plus. Alors, au lieu de subir ces différents déclins, nous ferions mieux de gérer notre avenir et aspirer à une longévité correcte.
Pour cela, il faut redéfinir une erreur de sémantique : aujourd’hui, le médecin est un spécialiste de la pathologie et non de la santé, un professionnel de la maladie. Nous avons appris pendant de longues années que la meilleure manière de découvrir de quelle pathologie souffrait nos patients était d’effectuer divers examens ( RX, écho, CT scan, MNR, prise de sang etc…) et que les traitements les plus adéquats étaient l’allopathie, les chimiothérapies, la radiothérapie, les suivis psychologiques divers etc...
Mais quelle définition doit-on donner à la santé ?
Les gens pensent : ' je ne suis pas malade donc je suis en bonne santé'. Certains se disent, je suis encore capable de jouer au tennis à 60 ans donc je vais bien. Pourtant, à 20 ans nous courrons sur toutes les balles et étrangement à 40 ans sur celles qui nous intéressent car nous nous adaptons à la situation.
En fait on devrait se soucier bien à l’avance des pathologies qui risquent d’émerger et pas toujours se fier aux normes de santé calculées sur de grands échantillonnages de la population.
Nous avons tous un génome différent, nous sommes uniques à tous niveaux.
Si nous visons un bon capital santé, notre regard sur nous-même doit être différent. Il faut être ambitieux et certainement pourson capital santé.
La notion d'entretien est très importante. Pour notre voiture, nous courrons au garage dès qu’une lumière s’allume sur le tableau de bord.
Et nous ? Quand prenons-nous le temps d'aller à l'entretien avec notre corps ? Sommes-nous assez prévenants par rapport à notre santé ? Certainement pas !
Et c’est logique, on ne vous incitera pas à faire cette prévention car à l’arrière-plan il n’y a aucun enjeu financier. Nous vivons dans une société de consommation ou les lobbys pharmaceutiques règnent en maîtres.
Personne ne vous dira par exemple que notre corps est capable de produire une molécule naturelle contre le l'apparition d’un cancer oestrogéno-dépendant, une molécule pourtant très puissante issue de diverses réactions métaboliques qui se régularisent avec des composants naturels issus d’une nourriture de qualité.
L’entretien de notre corps se résume à lui donner une seconde chance, ne l’oubliez jamais .
La notion de vieillissement est très complexe, elle est le reflet du temps qui passe, de l'accumulation de carences, d’excès en tous genres, du stress oxydatif, etc. Une meilleure prise en charge des pathologies dormantes serait une très bonne approche.
Par exemple, le diabète est un des plus beaux modèles vivants de vieillissement prématuré, mais que fait-on ?
Simple, on dit au patient de ne pas manger de sucres rapides et de suivre un traitement médicamenteux. Mais lui parle-t-on du rôle de la graisse abdominale en cas d’obésité, de cancer, de diabète, d’inflammation. De même les études ont démontré que 85% des cancers de la prostate, 50% des cancers du sein pourraient être évités avec une prévention adaptée.
Nous explique-t-on le rôle des omégas 3, de l’excès d’omégas 6 type acides arachidonique, de l’intestin poreux, des acides gras palmitiques etc …, dans la génèse de l’inflammation de notre corps ?
Pourquoi ne formons-nous pas automatiquement les médecins afin qu’ils puissent maîtriser le domaine de la nutrition et son impact sur notre santé ?
Là, il y un véritable challenge qui permettrait de mieux préserver notre capital santé. Pourtant, on nous dit que l'espérance de vie s’améliore d’année en année, certes, nous sommes peut-être sensés vivre jusque 85ans, génial ! Mais où est l’intérêt de vivre en moyenne 62 ans de manière correcte avec par la suite 23 ans d'espérance de vie en étant malade dans la plupart cas.
Ce n’est pas génial me direz-vous, mais, ces années restantes seront malheureusement consacrées aux profits liés aux maladies.
Un des enjeux de la santé publique serait de mieux prévenir les maladies cardio-vasculaires, le diabète, les maladies neurologiques, pratiquer la prévention primaire afin de retarder l'apparition des maladies. La médecine préventive n'est pas une médecine parallèle. Nous avons fait le serment d’Hippocrate :’ primum non nocere’, que la nutrition soit ta première médecine, mais est-ce réellement le cas ?
Les médicaments dans la plupart des cas ne sont pas très onéreux voire gratuits, donc, en toute logique la population apprécie ce concept car la nutrition qui passe par une nourriture équilibrée et des compléments alimentaires est quant à elle souvent trop onéreuse.
Parfois nous n’avons pas le choix que de terminer nos jours en maison de retraite car très souvent nos capacités se sont tellement dégradées que nous ne sommes plus capables de se prendre en charge et là on se pose la question de savoir qui est heureux dans une maison de retraite ? La seule personne qui est heureuse est celle qui rentre chez elle après son service. Doit-on vraiment dégrader de la sorte ou devons-nous prendre notre santé en mains le plus tôt possible ?
Combien de patients viennent me voir pour la première fois en me disant j'ai déjà fait 2 infarctus, j'ai un diabète contrôlé, une hypertension sous traitement, 15kg de trop mais je suis là docteur!
Peut-on réellement être heureux de ne pas avoir fait de la prévention ?
On a également tendance à parfois se réfugier derrière la génétique, mais, l’on sait aujourd’hui qu’elle n’est responsable de notre longévité que dans 25% des cas. Cependant, parle-t-on du rôle primordial de l'épigénétique càd le réveil de gênes mis sous silence par un comportement alimentaire inapproprié, là il y a un véritable enjeu.
Malheureusement dans une société en complète dérive alimentaire où se croisent des colorants nocifs mais autorisés, où le sucre industriel est au premier rang dans nos assiettes alors qu’il est un tueur à petit feu confirmé, on se pose la question de savoir où s'arrêtera cette décadence.
Pour éviter un vieillissement prématuré, optons pour une restriction calorique, mangeons moins et plus sainement afin de préserver nos mitochondries qui sont à la source de la production de 90% de nos radicaux libres (stress oxydatif). La prévention passe par l’optimalisation de ces mitochondries par le biais d’une nourriture et d’une complémentation adaptées.
Retenons que nous ne sommes jamais prisonniers de notre situation, à chaque âge nous pouvons changer nos comportements. Ne soyez pas fatalistes, ressaisissez-vous, la médecine préventive existe. Nous sommes là pour vous aider, pour également aider nos confrères pour ensemble atteindre un objectif commun qui est de préserver le capital santé. Il est bien plus important de le préserver que d'arriver à la pension les poches remplies d’argent et de nombreuses maladies ....
Le Dalaï Lama disait : ' je ne comprendrai jamais l'homme, quand il est jeune il a des dents mais pas les noix, quand il vieillit il a les noix mais plus les dents'.
Sur cette maxime, je vous quitte en espérant avoir éveillé en vous l'envie de préserver le plus longtemps possible votre capital santé car il n’a pas de prix !